Hebergement d urgence de 2007 a 2010 quelle difference ? aucune !!
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C'est un document qui est resté secret car il est accablant (rapport solen) ce document démontre aussi toute la mauvaise foi de Nicolas Sarkozy et de sa ministre du logement, Christine Boutin.
Comme chaque hiver tout est base sur la com du monarque et à l époque christine Bouttin et la culpabilisation de ses etres humains dans la rue
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Comment ?
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il y aurait suffisamment de places d'hébergement pour les sans-abri en France.
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D'autre part, ces centres d'accueil seraient de qualité.
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Conclusion: si les sans-abri meurent dans la rue, c'est qu'ils le veulent bien c est de leur faute a eux pas au monarque et bouttin (je rappelle que cela parle de 2008 et que c est la faute de l autre est toujours la meme dans la bouche du monarque et sa clique en 2011)
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une enquête baptisée Solen, réalisée en juin dernier à la demande du ministère du logement et que Mediapart révèle en intégralité, démontre exactement l'inverse.
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Petit rappel des propos et proposition de Bouttin en 2008
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comme tous les ans certains viennent en hiver (des etres humains dans la rue) comme un minable fait divers ou c'etait normal que des etres humains meurent dans la rue dans ce pays et apparament dans leurs petites cervelle qu'en hiver!!après la mort de plusieurs SDF en quelques jours, notamment au bois de Vincennes.
Or Statistiquement, ces disparitions ne sont pas plus nombreuses que d'habitude: les SDF meurent autant en été qu'en hiver. Mais peu importe: le 26 novembre, en conseil des ministres, Nicolas Sarkozy suggère qu'il faudrait pouvoir héberger de force les sans-abri. Christine Boutin relaie l'idée devant la presse. Tollé général des associations.
À Meaux, Nicolas Sarkozy nous fait son discours com comme d'habitude sur le logement , comme s'il n'avait pas les clefs des finances: «Il faut agir de façon à ce que plus personne ne meure de froid en 2008 dans l'un des pays les plus riches au monde. C'est un scandale!»
Estimant que les sans-abri n'ont pas la lucidité nécessaire pour décider s'ils souhaitent ou non rejoindre un centre d'hébergement d'urgence, il préconise: «Cette personne-là (NDLR : le sans-abri), on lui donne à manger un bon repas chaud, on lui propose de la soigner, on lui permet de prendre un bain, on lui montre la chambre qu'on lui propose. Si elle n'en veut pas, elle s'en va, elle reprend la rue.» Nicolas Sarkozy avec bouttin dans tout le mépris de ces personnes qui sont dans la rue (deja) avec une méconnaissance des conditions des centres
d hébergements comme toujours aussi et bien sur que du provisoire rien dans le longue durée
Le fait que des personnes qui font appel au 115 restent sans offre d’hébergement dans certains départements
est un signe incontestable de l’insuffisance des capacités d'accueil
A Paris, le Samu social a enregistré . 41 305 demandes non pouvues en 2008, soit une moyenne de 113 personnes par jour
. dans l’agglomération lyonnaise, entre 50 et 100 personnes restent chaque jour sans solution apres avoir sollicite lle 115
Cependant, ces chiffres ne constituent que la partie émergée de l'iceberg. Un grand nombre de personnes qui sont dans des situations de detrésse qui les conduisent à vivre à la rue ou dans des conditions inacceptables ne font pas appel au dispositif parce qu'il n'est pas, ou qu ils estiment qu il n est pas en mesure de répondre a leurs attentes.
Une etude menée sur l'agglomération lyonnaise apporte un eclairage utilete sur cette question et évalue à plusieurs miliers le décalage entre offre et besoins!!
Les besoins en hébergement dans l’agglomération lyonnaise
Le non-recours.
Une étude a été menée en septembre 2008 par la MRIE et le réseau « Personne dehors »11, avec le soutien de la
Ville de Lyon et de la Fondation Abbé Pierre.
Elle a été réalisée auprès de 600 ménages sans logement ou sans hebergement fixe, parmi lesquelles des personnes à la rue, en abri de fortune, en squat ou chez des tiers (44 % dont 2/3 d'hébergement non familial)
Cette étude contient de précieuses informations sur les personnes concernées, leurs parcours et leur situation par rapport au dispositif dhébergement.
Parmi les personnes enquêtées :
25% avaient sollicité le 115 la nuit précédente, dont
. 13% ayant obtenu un hébergement
. 12% n’ayant pas obtenu de réponse satisfaisante ; chaque entre 50 et 80 personnes restent sans solution d' hébergement apres avoir appelé le 115
75% n’avaient pas sollicité le 115
Parmi les motifs du non-recours, on note :
• les difficultés liées au fonctionnement du dispositif
d’hébergement
. difficultés à joindre le 115 ; celles-ci renvoient largement
à l’insuffisance quantitative des places, qui contraint à
appeler plusieurs fois ; les places de stabilisation dont
le titulaire est absent sont réaffectées après 21 h ; se
pose également la question des moyens de la veille
sociale : le rapport relève que le 115 est actuellement
géré par une association qui pallie, en partie, le budget
de l’Etat en finançant sur ses fonds propres une partie
du coût du fonctionnement.
. l a discontinuité de l’hébergement ; une rotation est prganisée pour répartir l impact de la prénurie : les personnes adressées aux centres d'hébergements d'urgence continuent a n etre accueillies que quelques jours
• la nature des hébergements et leur inadaptation à certains publics
certains publics
. manque d’intimité,
. contraintes (, aux horaires, à la localisation),
. i nsécurisation et manque d’hygiène,
. i nadaptation à certains usagers (accueil d’animaux,
accessibilité aux handicapés, accueil de couples).
« Ce sont manifestement plusieurs milliers de personnes qui , sur l agglomération lyonnaise, sont sans solution de logement fixe la seconde quinzaine de septembre 2008"
L’inadéquation offre/besoins se manifeste également sur des territoires moins tendus. Dans le département de la Somme , les personnes orientées vers un CHRS d'insertion peuvent rester pendant un ou deux ans sur liste d'attente avant d'obtenir une place. La période d attente est source de dégradation de la situation
Des places, oui, mais dans des gymnases
Tout comme toutous de l UMP qui se doit Christine Boutin reprend mot par mot ceus du monaquer mais tout va tres bien madame la marquise et, qui reprend des statistiques jamais consolidées et ne cesse d'affirmer: «Il y a 100.000 sans-abri en France et 99.600 places d'hébergement.» Selon Christine Boutin, la situation serait donc très bonne. Et quand 400 SDF de plus seront morts, ça devait etre ca tout va bien madame la marquise de BOUTTIN
Le 25 novembre, Christine Boutin va jusqu'à affimer avec un sans gene , le week-end précédent, «dans le XIIe arrondissement de Paris, tout proche du bois de Vincennes, il est resté 40 places libres dans les hébergements d'urgence». Sollicité par Mediapart, le ministère n'a pas réussi à remettre la main sur la liste de ces 40 places disponibles. Mais officieusement, des proches de Boutin le confirment: il s'agissait de place en gymnase, où l'on dort entassés dans des lits de camp. ( on entasse des êtres humains)
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En toute connaissance de cause que le gouvernement raconte fait de l enfumage , des berceuses loin de la realite.
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L'enquête Solen, réalisée le 9 juin 2008, le montre bien. Elle se compose d'une photographie de la situation des centres, réalisée le 9 juin 2008, et d'un bilan de l'année 2007, sur lesquels le gouvernement s'est bien tu pas de chiffres qui dérangent c est mauvais pour la comm a gogo relayer a coup de médias par de « petites cervelles qui se disent journaleux » .
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Qu est ce qu on constat qu'en France, près d'une demande d'hébergement sur deux (47%) est refusée. Et que, dans 73% des cas, ce refus s'explique par le manque de places disponibles. En Ile-de-France où la situation est la plus tendue, ce sont 64% des demandes qui subissent un refus, dans 78% des cas par manque de places (pour les autres motifs de refus: hébergement non adapté à la structure familiale, addictions, animaux de compagnie, etc.,
Ces chiffres ont été établis sur l'ensemble de l'année 2007 et montrent que quelques places débloquées cet hiver dans des gymnases ne changeront rien au tableau d'ensemble.
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Seulement 4% des sortants vers un vrai logement
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d'après l'enquête Solen, 35% des personnes qui sont dans les centres d'hébergement n'ont rien à y faire (45% en Ile-de-France). Ou plutôt, n'auraient rien à y faire, si les logements et les structures nécessaires existaient. En effet, les travailleurs pauvres, qui constituent le gros de ces troupes, auraient les moyens de payer un loyer s'ils avaient un logement. Et les personnes atteintes de pathologies lourdes devraient se faire soigner dans une structure adapté.
L'étude Solen est à cet égard édifiante. En France, moins de 10% des personnes sortant d'un centre d'hébergement (centre d'hébergement d'urgence et centre d'hébergement et de réinsertion sociale) se dirigent vers un logement durable, à peu près à proportions équivalentes vers le parc social et vers le parc privé. Le chiffre tombe même à 4% à Paris, ville où les sans-abri sont les plus nombreux.
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En septembre, Christine Boutin avait fixé un cap: dans chaque département, 15% des hébergés devaient sortir de ces dispositifs avant l'hiver;
le bilan de cette opération, et seuls de 7 à 7,5% des hébergés auraient quitté les structures.
Souvenez vous ce gouvernement avec Bouttin en tete à s'interroger publiquement sur l opportunite du recours à la force pour conduire des sans abris vers des lieux d hebergement
Une telle mesure aurait ete de constituer un retour en arrire consiiderable, rétablissent de fait "le delit de vagabondage" (ca y est tu as compris rien avoir pour aider les sans abris mais mettre un delit de plus pour eux avec Bouttin à sa tete) et aurait conduit nombre de sans abris à ce cacher (cacher cette misere que l ump ne veut pas voir et Bouttin en tete)
Les liens entre l exclusion sociale et pathologies sont extremement importants
Où sont-ils partis? Que deviendront-ils? . Car l'enquête Solen conduit également à s'interroger sur le fonctionnement des associations qui gèrent les centres d'hébergement. Si l'enquête rappelle les manques cruels de places pour les couples et pour les sans-abris ayant un animal, le plus stupéfiant réside ailleurs: en France, on ne sait pas ce que deviennent 51% des personnes qui sortent d'un centre d'hébergement. Et même 77% à Paris! Sans abri et sans suivi.
(periode 2007-2008-2009)
Maintenand dite moi ce qui a change depuis rien , les memes plans a deux balles , meme comm pitoyable sur le dos des plus précaires de l ump, plus 340 etre humains qui sont morts dans les rues de france en 2010, toujours mepris nauseabonde pour eux du monarque et apparu
On ne peut pas gérer le dispositif au fil des bulletins meteoroligiques ou de la plus au moins grande presse mediatique en hiver car le reste de l année pour les journaleux petites cervelles la rue s est l eclate !!!
et toi le citoyen une pensée a noel pour eux oh c est trop et le reste de l année ?? non ben oui ils doivent etre transparant pour toi
Qu attends tu pour te reveiller t indigner te revolter agir sur le terrain peut etre que + 340 etre humains qui sont morts en 2010 n est pas suffisant pour toi??